RÉVOLUTION
Version
française – RÉVOLUTION – Marco Valdo M.I.– 2013
d'après
la version italienne de Lorenzo Masetti
d'une
chanson étazunienne – Revolution – Dick
Gaughan – 1983
Le
texte est un poème de Joseph Bovshover et est repris de « American
Labour Songs of the 19th Century ». Musique composée à Berlin
(est) pendant le festival de la chanson politique 1982 .
J'arrive
comme une comète à peine née
Comme
le soleil qui pointe au lever
Je
coule comme une lave magmatique
De monts couverts de nuages volcaniques
J'arrive comme une tempête nordique
Qui réveille les océans en panique
De monts couverts de nuages volcaniques
J'arrive comme une tempête nordique
Qui réveille les océans en panique
Je
viens car la tyrannie transplante
Dans le sable chaud du désert, ma semence
Je viens car les maîtres allument
Ma fureur à chaque fois qu'ils commandent
Je viens car l'homme ne peut pas tuer
La graine vivifiante de ses veines
Je viens car on ne peut pas laisser la liberté
Être pour toujours bridée par des chaînes
Dans le sable chaud du désert, ma semence
Je viens car les maîtres allument
Ma fureur à chaque fois qu'ils commandent
Je viens car l'homme ne peut pas tuer
La graine vivifiante de ses veines
Je viens car on ne peut pas laisser la liberté
Être pour toujours bridée par des chaînes
Je
viens car les tyrans imaginent
Que l'humanité est leur trône
Je viens car la paix a été nourrie
De canons et de balles
Je viens car le monde est divisé
Et qu'on se fait face rageusement
Je viens car des gardes ont été placés
Pour empêcher l'espoir de notre temps.
Que l'humanité est leur trône
Je viens car la paix a été nourrie
De canons et de balles
Je viens car le monde est divisé
Et qu'on se fait face rageusement
Je viens car des gardes ont été placés
Pour empêcher l'espoir de notre temps.
En
des temps plus anciens, les pauvres
M'ont réveillée et m'ont appelée pour les mener
Je les ai guidés hors de l'esclavage
Et je les ai conduits sur les routes de la liberté
J'ai marché à la tête de leurs troupes
Et salué un nouveau monde à sa naissance
Et à présent, je marcherai avec les peuples
Jusqu'à ce qu'ils affranchissent la terre
M'ont réveillée et m'ont appelée pour les mener
Je les ai guidés hors de l'esclavage
Et je les ai conduits sur les routes de la liberté
J'ai marché à la tête de leurs troupes
Et salué un nouveau monde à sa naissance
Et à présent, je marcherai avec les peuples
Jusqu'à ce qu'ils affranchissent la terre
Et
vous, vous tous sacs à fric sanctifiés
Bandits oints et couronnés
Vos fausses tours de justice
Et d'éthique s'écraseront à terre
J'enfoncerai mon épée dans vos cœurs avides
Qui pompent le sang du monde
Je fracasserai toutes vos couronnes et vos sceptres
Et je les piétinerai tous dans la poussière
Bandits oints et couronnés
Vos fausses tours de justice
Et d'éthique s'écraseront à terre
J'enfoncerai mon épée dans vos cœurs avides
Qui pompent le sang du monde
Je fracasserai toutes vos couronnes et vos sceptres
Et je les piétinerai tous dans la poussière
Je
déchirerai vos riches vêtements pourpres
Je les mettrai en lambeaux et en pièces
Jamais plus leur prestance
Ne fera tourner les têtes
Je les mettrai en lambeaux et en pièces
Jamais plus leur prestance
Ne fera tourner les têtes
Enfin
votre monde froid sera dépouillé
De sa orgueilleuse splendeur hypocrite
Car nous le dissoudrons tout entier
Comme le soleil dissout la plus haute neige
De sa orgueilleuse splendeur hypocrite
Car nous le dissoudrons tout entier
Comme le soleil dissout la plus haute neige
J'anéantirai
votre morale de censeurs
Je briserai la vieille chaîne de vos mensonges
J'attraperai tous vos noirs prédicateurs
Et je les écraserai comme des mouches
Je liquiderai vite fait vos cieux
Et vos dieux qui sont sourds à toute prière
Je pulvériserai vos esprits futiles et vieux
Et je nettoierai l'air et la terre.
Je briserai la vieille chaîne de vos mensonges
J'attraperai tous vos noirs prédicateurs
Et je les écraserai comme des mouches
Je liquiderai vite fait vos cieux
Et vos dieux qui sont sourds à toute prière
Je pulvériserai vos esprits futiles et vieux
Et je nettoierai l'air et la terre.
Et
quoique vous pouvez m'écraser et me tuer
Et me pendre. Vos efforts sont désespérés
Aucun cachot, aucune potence ne peut m'effrayer
Ni la douleur m'inquiéter
De la terre, chaque fois je renaîtrai
Je me rirai de toutes vos armes de malheur
Jusqu'à ce que vous soyez hors jeu pour l'éternité
Jusqu'à ce que vous soyez poussière dans la tombe
Et me pendre. Vos efforts sont désespérés
Aucun cachot, aucune potence ne peut m'effrayer
Ni la douleur m'inquiéter
De la terre, chaque fois je renaîtrai
Je me rirai de toutes vos armes de malheur
Jusqu'à ce que vous soyez hors jeu pour l'éternité
Jusqu'à ce que vous soyez poussière dans la tombe
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