Version
française – FEMMES AUX GRANDS YEUX – Marco Valdo M.I. – 2015
Chanson
italienne – Donne
dagli occhi grandi – Yo
Yo Mundi – 1996
Ce sont les femmes aux grands yeux Que nous nous obstinons à ne pas comprendre |
Elles
collectionnent les regards et certaines fragrances
Et la mémoire se fait légère,
Les parcours deviennent limpides et étendus et les mots récits
grâce aux expressions du visage, et puis,
Ces récits presque légendaires
Vécus par de petites ouvrières, pauvres et sans défense.
Et la mémoire se fait légère,
Les parcours deviennent limpides et étendus et les mots récits
grâce aux expressions du visage, et puis,
Ces récits presque légendaires
Vécus par de petites ouvrières, pauvres et sans défense.
Ce
sont les femmes aux grands yeux
Que nous nous obstinons à ne pas comprendre,
Avec leurs histoires de femmes aux grands yeux
Que certains hommes ne veulent pas entendre.
Et ces yeux ressemblent à des lacs gelés
Que nous nous obstinons à ne pas comprendre,
Avec leurs histoires de femmes aux grands yeux
Que certains hommes ne veulent pas entendre.
Et ces yeux ressemblent à des lacs gelés
Entre
montagnes et reflets
Ce sont des propos distillés par l'envie
Il y a tant de courage
dans les silences profonds comme les valises de l'exil
Avec au cœur, le songe
Et puis que reste-t-il ?
Ce sont des propos distillés par l'envie
Il y a tant de courage
dans les silences profonds comme les valises de l'exil
Avec au cœur, le songe
Et puis que reste-t-il ?
Ce
sont les femmes aux grands yeux
Que nous nous obstinons à ne pas comprendre,
Avec leurs histoires de femmes aux grands yeux
Que certains hommes ne veulent pas entendre.
Que nous nous obstinons à ne pas comprendre,
Avec leurs histoires de femmes aux grands yeux
Que certains hommes ne veulent pas entendre.
Ce
sont les femmes aux grands yeux
Que nous nous obstinons à ne pas comprendre,
Avec leurs histoires de femmes aux grands yeux
Que certains hommes ne veulent pas entendre.
Que nous nous obstinons à ne pas comprendre,
Avec leurs histoires de femmes aux grands yeux
Que certains hommes ne veulent pas entendre.
Ces
yeux tant désirés et trop de fois abandonnés.