LOUMBA
Version
française – LOUMBA – Marco Valdo M.I. – 2014
d'après
la version italienne de Gian Piero Testa
d'une
chanson en langue grecque – Λούμπα – Gian Piero Testa –
2012
Texte
de
Gian Piero Testa
Musique : inédite
Premier interprète: Le vent de la nuit
Musique : inédite
Premier interprète: Le vent de la nuit
Il aimait les ânes et les chats ; nous, on l'aimait bien. |
« Voici
la plus triste nouvelle qu'on puisse donner, mais malheureusement
nous devons le faire.
Gian Piero Testa, collaborateur historique de ce site et âme de la « Section Grecque », avec des dizaines de traductions magistrales, nous a laissé cette nuit suite à une très grave et très rapide maladie.
À celui qui l'a connu en personne restent pas un, mais dix mille souvenirs ; à celui qui ne l'a pas connu reste son œuvre dont ce site s'emploiera encore plus à la mettre en relief et à la valoriser comme elle mérite.
Que pour Gian Piero, tombé amoureux de la Grèce, de sa culture et de sa langue, résonne à juste titre le cri : ΑΘΑΝΑΤΟΣ ! »
Gian Piero Testa, collaborateur historique de ce site et âme de la « Section Grecque », avec des dizaines de traductions magistrales, nous a laissé cette nuit suite à une très grave et très rapide maladie.
À celui qui l'a connu en personne restent pas un, mais dix mille souvenirs ; à celui qui ne l'a pas connu reste son œuvre dont ce site s'emploiera encore plus à la mettre en relief et à la valoriser comme elle mérite.
Que pour Gian Piero, tombé amoureux de la Grèce, de sa culture et de sa langue, résonne à juste titre le cri : ΑΘΑΝΑΤΟΣ ! »
Nous
ne faisions pas partie de ceux qui ont connu Gian Piero Testa « en
personne ». Mais on le connaissait bien par son œuvre, qu'on
suivait de loin (géographiquement, s'entend ! - Il nous suivait
aussi) et que parfois, on traduisait (à notre façon) en français.
Lui aussi nous a traduit nos textes… Ce qu'on vient de faire une
fois encore… In memoriam d'une amicale sympathie. Il aimait les
ânes et les chats ; nous, on l'aimait bien.
Ainsi
Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane
Nos riches
Mangent comme des cochons
Mais le compte - c'est con -
Jamais ils ne le payent.
Ils interpellent le peuple
Et en riant, ils disent :
Surveille notre clôture.
Nous sommes une grande famille.
Ah, les grillades que nous avons mangées...
Mais peuple, vous êtes la majorité
Les os vous reviennent
Et aussi, bien sûr, la note.