Le
Rêve oublié sur papier
ou
Les
Ambassadrices
Après
le Rêve de Guillaume, premier tome des Histoires d’Allemagne, le
second tome intitulé : Le Rêve de Weimar, le troisième
intitulé Le Rêve d’Adolf, voici un autre livre de Marco Valdo
M.I. : il s’intitule le Rêve oublié et couvre les années
1946 à 1963, les années où une Allemagne, toujours sous le choc du
Millénaire avorté, divisée et désillusionnée essaye de se
réconcilier avec le monde. Une période difficile qui commence dans
les ruines et la honte et qui finit dans les confortables habitudes
retrouvées des uns et les premières révoltes des générations
d’après.
Ce qu’il faut absolument dire ici, ce qui mérite d’être dit et souligné ici, c’est que sans les Chansons contre la Guerre (CCG), cette édition papier n’aurait sans doute jamais existé puisque toutes les chansons et tous les textes (ou presque) qui y figurent viennent en droite ligne des C.C.G. Ils y ont été conçus et ils y ont grandi ; l’auteur y a aussi appris à les faire.
Au final, il y a 34 chansons pour 18 années. Il y en a 18 tirées des récits de « Mein Jahrhundert » de Günter Grass et mises en chanson et 16 qui sont des versions françaises de chansons allemandes, proposées ici par Marco Valdo M.I. ; pour certaines, il a même fallu en faire la version française expressément afin de pouvoir les insérer dans le livre.
On y trouvera donc :
Ce qu’il faut absolument dire ici, ce qui mérite d’être dit et souligné ici, c’est que sans les Chansons contre la Guerre (CCG), cette édition papier n’aurait sans doute jamais existé puisque toutes les chansons et tous les textes (ou presque) qui y figurent viennent en droite ligne des C.C.G. Ils y ont été conçus et ils y ont grandi ; l’auteur y a aussi appris à les faire.
Au final, il y a 34 chansons pour 18 années. Il y en a 18 tirées des récits de « Mein Jahrhundert » de Günter Grass et mises en chanson et 16 qui sont des versions françaises de chansons allemandes, proposées ici par Marco Valdo M.I. ; pour certaines, il a même fallu en faire la version française expressément afin de pouvoir les insérer dans le livre.
On y trouvera donc :
1946
– Marschlied
1945 ;
1946 – Les
Briques rouges de Berlin ;
1946 – Considérations
nurembergeoises ;
1946
– La
Jeunesse a la parole ;
1946 – Latrines ;
1946 – Tant
que les Meurtriers ;
1946 – Troc-Broc ;
1947
– Oh,
Barbara, il neigeait sur l’Elbe... ;
1947
– Chanson
de l’Attente ;
1948
– Inventaire ;
1948 – Carte
postale aux Jeunes ;
1948 – La
Soupe froide ;
1948 – Nous
sommes les Indigènes de la Trizonésie ;
1949
– Inge,
in Natura et Figura ;
1950 – Kölle
Alaaf : Qui va payer ça ? ;
1951 – Lettre
de Marienborn ;
1952 – La
Cruche de la Lande ;
1952 – Chaque
jour ;
1953 – La
Chasse aux Chars ;
1954
– Le
Miracle de Berne ;
1955
– L’Antiatomique ;
1956
– Quatre
Hommes dans un Champ ;
1957 – Ein
Volk, ein Helm, ein Heim ! ; 1957
– Atomepoème ;
1958 – Chanson
du Miracle économique ;
1958 – Les
Ambassadrices ;
1959 – Oscar,
Oscar ;
1959 – Le
Tango du Crime ;
1960 – Les
Pieds d’Hary et ses Lacets ;
1960 – Cha-cha
de la Conjoncture ;
1961 – Le
Jeu du Pendu ;
1962 : La
Cage de Verre ;
1962 : Venez
avec nous ;
1963 : La
Mousse du Vestiaire
Republier
ce qui existe déjà dans les CCG et sur au moins, deux blogs
(Canzones et Histoires d’Allemagne) peut sembler paradoxal, mais il
n’en est rien. Il y a diverses raisons à cela.
La première, c’est la demande de plusieurs amis qui souhaitaient pouvoir trouver ces Chansons contre la Guerre (en langue française) sur papier ; essentiellement par commodité de lecture. Les écrans lassent l’œil.
La deuxième, c’est le souhait de l’auteur de voir son travail présenté sous une autre forme ; peut-être aussi, son envie de faire des livres et le fait que j’aime les livres.
La troisième est une opportunité de l’évolution ; tout comme Internet avait permis la création et le développement (notamment) des Chansons contre la Guerre (et d’un milliard d’autres sites, blogs…), les nouvelles formes d’édition sont apparues qui permettaient de publier des livres sans disposer de grands moyens financiers et pour tout dire, sans moyen. C’est une forme d’édition libre qui naissait. Concrètement, je suis mon propre éditeur, mais également, celui qui écrit les textes, les compose, les met en page, les corrige ; il n’y a que les imprimer que je ne fais pas. Ce travail artisanal se rapproche assez de celui du peintre, du sculpteur. Évidemment, tout ceci n’est possible que parce qu’un imprimeur peut – grâce à des nouvelles techniques – proposer une impression à la demande, un exemplaire à la fois et à un prix raisonnable à l’exemplaire. Ainsi, chaque personne qui le souhaite peut publier un livre (mais il faut évidemment pouvoir le faire, c’est-à-dire concevoir et écrire un livre, ce qui est un autre sujet), mais aussi, chaque personne peut commander directement son exemplaire du Rêve de Weimar à l’imprimeur et régler son dû à l’imprimeur.
Une des conséquences de cette manière de faire est qu’il ne se trouvera pas des paquets de ce livre sur les étals des libraires, sauf si un libraire particulièrement enthousiaste décide de le faire dans sa librairie.
On me demande souvent si je fais ces livres pour gagner de l’argent…
La première, c’est la demande de plusieurs amis qui souhaitaient pouvoir trouver ces Chansons contre la Guerre (en langue française) sur papier ; essentiellement par commodité de lecture. Les écrans lassent l’œil.
La deuxième, c’est le souhait de l’auteur de voir son travail présenté sous une autre forme ; peut-être aussi, son envie de faire des livres et le fait que j’aime les livres.
La troisième est une opportunité de l’évolution ; tout comme Internet avait permis la création et le développement (notamment) des Chansons contre la Guerre (et d’un milliard d’autres sites, blogs…), les nouvelles formes d’édition sont apparues qui permettaient de publier des livres sans disposer de grands moyens financiers et pour tout dire, sans moyen. C’est une forme d’édition libre qui naissait. Concrètement, je suis mon propre éditeur, mais également, celui qui écrit les textes, les compose, les met en page, les corrige ; il n’y a que les imprimer que je ne fais pas. Ce travail artisanal se rapproche assez de celui du peintre, du sculpteur. Évidemment, tout ceci n’est possible que parce qu’un imprimeur peut – grâce à des nouvelles techniques – proposer une impression à la demande, un exemplaire à la fois et à un prix raisonnable à l’exemplaire. Ainsi, chaque personne qui le souhaite peut publier un livre (mais il faut évidemment pouvoir le faire, c’est-à-dire concevoir et écrire un livre, ce qui est un autre sujet), mais aussi, chaque personne peut commander directement son exemplaire du Rêve de Weimar à l’imprimeur et régler son dû à l’imprimeur.
Une des conséquences de cette manière de faire est qu’il ne se trouvera pas des paquets de ce livre sur les étals des libraires, sauf si un libraire particulièrement enthousiaste décide de le faire dans sa librairie.
On me demande souvent si je fais ces livres pour gagner de l’argent…
Avec
ce système de vente à l’exemplaire, c’est à peu près
impossible ; mais en fait, comme disait mon grand-père, ce
n’est pas le but du jeu ; traduction : on s’en fout.
Dès lors, il est clair qu’on ne pousse pas à la consommation :
lit qui veut.
Une autre raison de cette publication est que les Histoires d’Allemagne avaient été conçues sur une durée de plusieurs années et apparaissaient dispersées et perdaient une bonne part de leur vitalité en raison-même de cet éparpillement. Il convenait d’y mettre de l’ordre et de les rassembler en un ensemble structuré.
Bonne idée car en les regroupant, il est apparu que ces chansons jouaient un rôle de catalyseur de la réflexion sur ce qui est actuellement le « problème central de l’Europe » : l’Allemagne.
L’Allemagne, qui fut le Rêve d’Otto (von Bismarck), est déclinée ici en six rêves qui prolongent celui du premier chancelier. Tous ces rêves tendent vers le même but : la Grande Allemagne.
On commence par celui de Guillaume II, dit le Kaiser, qui est donc un chapitre du déroulement du rêve allemand. Comme on sait, il se terminera par un épouvantable désastre.
Une autre raison de cette publication est que les Histoires d’Allemagne avaient été conçues sur une durée de plusieurs années et apparaissaient dispersées et perdaient une bonne part de leur vitalité en raison-même de cet éparpillement. Il convenait d’y mettre de l’ordre et de les rassembler en un ensemble structuré.
Bonne idée car en les regroupant, il est apparu que ces chansons jouaient un rôle de catalyseur de la réflexion sur ce qui est actuellement le « problème central de l’Europe » : l’Allemagne.
L’Allemagne, qui fut le Rêve d’Otto (von Bismarck), est déclinée ici en six rêves qui prolongent celui du premier chancelier. Tous ces rêves tendent vers le même but : la Grande Allemagne.
On commence par celui de Guillaume II, dit le Kaiser, qui est donc un chapitre du déroulement du rêve allemand. Comme on sait, il se terminera par un épouvantable désastre.
Ensuite,
à l’effondrement du Reich, apparaîtra une République, connue
sous le nom de République de Weimar; elle aussi fera un rêve
tumultueux qui se termine tragiquement par la venue au pouvoir des
nazis.
Le
Reich de Mille Ans, rêvé par Adolf et ses séides, ne survécut pas
longtemps à son inspirateur ; après 12 ans (12 ans de trop),
il disparaît dans les cendres et les ruines. L’Allemagne écrasée
n’a plus qu’à oublier les rêves et les cauchemars ; il lui
faudra un temps pour comprendre et assimiler ses défaites.
C’est
cette
période d’amnésie qui
est présentée
ici sous titre : « Le Rêve oublié ».
C’est
le temps de la lente convalescence.
D’autres volumes sont prévus. On en reparlera.
Ainsi Parlait Marco Valdo M.I.
On peut le trouver à l'adresse :
http://www.publier-un-livre.com/fr/le-livre-en-papier/368-le-reve-oublie
D’autres volumes sont prévus. On en reparlera.
Ainsi Parlait Marco Valdo M.I.
On peut le trouver à l'adresse :
http://www.publier-un-livre.com/fr/le-livre-en-papier/368-le-reve-oublie