Version
française – LA BALLADE DE L’ÉMIGRANT – Marco Valdo M.I. –
2016
Luca
Bassanese parle
de l’émigration des « Cerveaux en fuite »,
jeunes
de talent ou de haute spécialisation professionnelle contraints à
laisser le pays pour chercher un futur digne, de l’exode quotidien
de centaines et de centaines de jeunes Italiens. Bassanese dit
que
sa chanson s’insère dans le cadre historique de l’émigration,
racontant cependant une nouvelle histoire. Ce n’est plus
l’émigration avec la valise en carton et la ficelle, amis celle
avec un diplôme à faire fructifier et un coffre
de songes à rouvrir, trop longtemps fermé par l’indifférence
d’un pays d’origine qui n’arrive pas à retenir ses meilleurs
talents.
« Italie,
douce
Italie je t’ai cherchée, je t’ai embrassée, mais à présent,
salut ! Ô ma belle endormie ! » avec l’espoir d’un
jour revenir à retrouver « la mer, la mer, le vent, le vent,
le soleil » sans l’angoisse de devoir repartir.
C’est
la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
Chercher un futur,
C’est chercher un trésor.
En rien facile
Comme travail.
Souris frère !
Des yeux et du cœur,
Demain, tu verras,
Sera un jour meilleur.
Souris frère !
Des yeux et du cœur.
Demain, tu verras,
Sera un jour meilleur.
Na
ni na narunninnaninnana
Na ni na narunninnaninnana
Na ni na narunninnaninnana
Oui, je
l’admets, il est triste
De devoir partir
Mais c’est toujours mieux que
De rester ici à mourir !
Italie, douce Italie !
Je t’ai cherchée, je t’ai embrassée,
Mais à présent, salut !
De devoir partir
Mais c’est toujours mieux que
De rester ici à mourir !
Italie, douce Italie !
Je t’ai cherchée, je t’ai embrassée,
Mais à présent, salut !
Ô ma
belle endormie !
Mais maintenant salut !
Ô ma belle endormie !
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
Mais maintenant salut !
Ô ma belle endormie !
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
C’est
la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
Et sur les quais
D’une autre gare
Où naissent les rêves,
Un amour naît.
Qui peut savoir si ses yeux
Ne seront pas des lumières
Et ses cheveux, des vagues de la mer.
Et ses cheveux, des vagues de la mer.
Et ses cheveux, des vagues de la mer.
Na
ni na narunninnaninnana
Na ni na narunninnaninnana
Na ni na narunninnaninnana
Mais cher
Pays qui me laisse partir
Qui peut savoir si un jour, je vais revenir
En chantant une chanson d’amour, une vieille :
La mer, la mer… le vent, le soleil.
La mer, la mer… le vent, le soleil.
Qui peut savoir si un jour, je vais revenir
En chantant une chanson d’amour, une vieille :
La mer, la mer… le vent, le soleil.
La mer, la mer… le vent, le soleil.
La mer,
la mer… le vent, le soleil.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
C’est
la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
Na ni na narunninnaninnana.
C’est la ballade de l’émigrant,
Na ni na narunninnaninnana.
Ô ma
belle endormie !
Italie, douce Italie !
Je t’ai cherchée, je t’ai embrassée,
Mais à présent, salut !
Italie, douce Italie !
Je t’ai cherchée, je t’ai embrassée,
Mais à présent, salut !
Ô
ma belle endormie !
Italie, douce Italie !
Je t’ai cherchée, je t’ai embrassée,
Mais à présent, salut !
Ô ma
belle endormie !
Italie, douce Italie !
Je t’ai cherchée, je t’ai embrassée,
Mais à présent, salut !
Ô
ma belle endormie !
Italie, douce Italie !
Je t’ai cherchée, je t’ai embrassée,
Mais à présent, salut !
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