Ivan
Graziani est né hier, l'année de la Libération, et est mort le
jour de l'an de 1997…
Je ne me lancerai pas dans des interprétations de cette hermétique chanson mais, selon moi, c'est une chanson contre la guerre…
Je ne me lancerai pas dans des interprétations de cette hermétique chanson mais, selon moi, c'est une chanson contre la guerre…
Hier, j'ai rêvé d'un jardin
Là, avec moi, il y avait un homme
Il me tournait le dos
Seulement pour que je ne voie pas son visage
Je t'en prie laisse moi partir,
Je t'en prie qui que tu sois.
Comment es-tu si aveugle ?
Ne vois-tu pas le feu sur la colline…
Et le feu projette les ombres,
Elles arrivent jusqu'aux grilles,
L'écho renvoie les bruits.
N'entends-tu pas, là-haut on se bat.
Je prendrai la route du fleuve,
En une heure, je serai au pas.
Les autres ont déjà rejoint le sommet.
Nous verrons le feu sur la colline.
Et
peut-être après, nous chanterons.
À gorge déployée, nous chanterons.
À seize ans, courir essoufflé est doux.
À gorge déployée, nous chanterons.
À seize ans, courir essoufflé est doux.
Naïf, romantique et con - il me répondit -Les feux dont tu parlesSont les phares sur le champDes tracteurs qui moissonnent.
Hier, j'ai rêvé d'un jardin
Là, avec moi, il y avait un homme
Il me tournait le dos
Seulement pour que je ne voie pas son visage.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire